118- LES ARTISTES DE LA MEGALAUBIE

              C'est ainsi qu'étaient présentés les artistes sur la couverture du catalogue réalisée pour cette Mégalaubie de 1996 au CIECLE de Massillargues.

              Pour vous éviter un torticolis en essayant de lire leurs noms, je les ai recopiés pour vous, en respectant l'ordre alphabétique :

Marc Alessandri, Alt Alfons, Pierre Baey, Frédéric Balourdet, Michèle Barange, Dominique Bernard, Patricia Bianco, Jane Caro, Didier Chenu, Sophie Combre, Gérard Coquelin, Romain Couprie, Marc Couturier, Patrick Danion, André Dechiffre, Martin Engelman, Nicolae Fleissig, Kaj + Ficaja, Alain Gilier, François Godebski, Daniel Hebrard, Loïc Hervé, Yan Kaniza, Lloyd Kelly, Benoît Lasserre, Jean-Noël Lavesvre, Patrick Lefèvre, Dimas Macedo, Marie Marin, Ariel Moscovisi, André Parineau, Pascal Payen-Appenzeller, Christian Péchenard, Yves Rhayé, Pierre Szekely, José Subira-Puig, Michel Wohlfahrt.

            Et, ainsi que je l'ai écrit dans l'article précédent, c'est par le sculpteur Patrick Levèvre que débute le clip vidéo réalisé à l'occasion de cette "Mégalaubie".  

               Ce cliché "capturé" sur le clip vidéo est malheureusement de mauvaise qualité. Il en est de même pour les clichés ci-dessous, montrant Patrick Lefèvre procédant à  à l'installation de la sculpture qu'il avait  réalisée pour Gérard Laubie :

              Mais, bien que très flou, ce petit film permet d'avoir un aperçu  du lieu d'exposition, avec le bel escalier en béton, et sur le cliché du centre, une sculpture de Benoît Lasserre.

            Quant à la sculpture de Patrick Lefèvre - un portrait de Gérard Laubie - la voici :

             Sur le clip vidéo, après s'être présenté, Patrick Lefèvre - sculpteur dans le sud depuis cinq à six ans - parle ainsi de son oeuvre :

                 "J'ai eu envie de réaliser cette sculpture dans une pierre dure - une pierre de Chine qui s'appelle de "l'onyx".

              On y voit recto et verso la croûte de cette pierre, et sur le côté, le profil de Gérard Laubie qui se métamorphose en un 2ème profil. Puis on arrive à une vision de face de la tête qui donne, davantage que le profil, une idée de ce qui passe à l'intérieur de la tête.  

              Ce passage, grâce à un stratagème d'insertion de fibre optique entre les deux facettes, permet de communiquer entre une image qui reste assez minime au tracé et toute l'aventure d'une pierre qui, livrée à elle-même, découvre des failles, des fissures; un dessin qui ne peut se révéler qu'au fur et à mesure qu'il se découvre..."

              Et un peu plus loin, dans ce clip, on peut voir Gérard Laubie et sa fille Nathalie regardant avec beaucoup d'intérêt cette sculpture de Patrick Lefèvre.

(à suivre...)

A.0.